Q : Certaines personnes s’en prennent aux jeunes du réveil islamique (as-Sahwa2) et prétendent qu’ils sont extrémistes et durs. Quelles remarques pouvez-vous apporter ?
R : Il est un devoir d’encourager les jeunes à faire le bien et de reconnaître le bien qu’il y a dans leurs activités qui vont dans ce sens, tout en leur conseillant la douceur, la sagesse et la retenue, car les jeunes - et les moins jeun
Q : Beaucoup de femmes en Egypte mettent sur leurs yeux du khôl (sorte de mascara noir), quand je leurs dit : si vous le mettez pour vous embellir c’est interdit, elles me répondent que c’est une Sunna, est-ce que ceci est vrai ?
R : L’utilisation du khôl est légiféré, mais il est interdit à la femme de montrer quoique ce soit de leurs atours, que cela soit du khôl ou autre, qu’à leurs maris ou à leurs maharim (personne lui
Q : Quel est l’avis juridique de l’islam sur le fait d’embrasser ses Mahârim ?
R : Embrasser les Mahârim avec désir ou en craignant d’exciter le désir, ce qui est très peu probable avec ses Mahârim en raison des liens du sang, mais possible avec les Mahârim par allaitement ou par mariage, est sans doute interdit. Mais si on ne craint pas l’excitation du désir, il n’y a pas de mal à embrasser sur le front ou sur la tête.
Le voyageur pour une durée de deux ans raccourcit-il sa prière ?
Q : Une discussion a eu lieu entre moi et un des mes camarades arabes au sujet du raccourcissement de la prière alors que nous résidons en Amérique, et que nous risquons d’y rester deux ans.
En ce qui me concerne, j’accomplis complètement mes prières, comme si je me trouvais dans mon pays. Quant à mon camarade, il raccourcit ses prières, car il considère être voyageur, même si l
Extrait de "Aqeeda el Moumim", de Cheihk Abu Bakr Jaber el Jazeiri.)
La foi en Allah, Maître des mondes
La recherche de la foi en Allah Tout Puissant, c'est à dire en Son Existence en tant que Seigneur et Maître, passe toujours par le respect de la raison humaine et l'acceptation de ses jugements sur toutes les affaires, quelque soient les résultats. C'est ainsi qu'elle doit accepter son jugement clair et franc sur l'existence du Seigneur qu'elle doit reconnaître, obéir, se laisser guider par Lui et adopter la voie tracée par Ses imams choisis parmi Ses adorateurs vertueux.
Notons ci-après les arguments présentés par la raison humaine et ses témoignages qui aboutiront en fin de compte au verdict final concernant la croyance en Allah, en Ses noms et Ses attributs, l'obligation de lui obéir et l'adorer, le respect de sa révélation et ses prescriptions.
Le divorce en période de menstrues Règles et fondements religieux
L’éminent savant, SHeikh Muhammad Ibn ‘Uthaymîn (rahumahullâh) a dit que « le divorce de la femme en période de menstrues fait l’objet d’une divergence entre les gens de science, et il y a eu un long débat quant au fait de savoir si le divorce prend effet ou non. La majorité des gens de science sont d’avis que le divorce reste effectif et il est compté, mais l’homme doit reprendre son épouse et la laisser jusqu’à ce qu’elle redevienne pure de ses menstrues, puis qu’elle ait ses menstrues une deuxième fois et qu’elle redevienne pure.
Hadith sur Dhul-Hijjah : Pas de meilleur moment pour les bonnes actions que ces dix jours
Abdullah ibn Mas'ud a rapporté : Le Messager d'Allah, paix et bénédictions sur lui, a dit : « Aucune bonne action ne peut être faite à un meilleur moment que ces dix premiers jours de Dhul-Hijjah. Il a été dit : "Pas même le djihad dans le chemin d'Allah ?" Le Prophète a dit : "Pas même le djihad dans le chemin d'Allah."
R : Il s’agit de détester le mal et de ne pas s’asseoir avec ceux qui le pratiquent, car le fait de s’asseoir avec eux, sans réprobation, ressemble aux agissements des juifs (Banû Isrâîl), et c’est ce qui fut la cause de leur malédiction par Allah, lorsqu’Il dit, exalté soit-Il :
« Ceux des Enfants d’Israël qui n’avaient pas cru ont été maudits par la bouche de David et de Jésus fils de Marie, parce qu’ils désobéissaient et transgressaient. Ils ne s’interdisaient pas les uns aux autres ce qu’ils faisaient de blâmable. Comme est mauvais, certes, ce qu’ils faisaient ! »1
Cheikh Ben Baz
Majmû’ Fatâwâ wa Maqâlât Mutanawwi’a, vol.5, pages 74 et 75.