Le fait de dire à son épouse « tu m’es interdite ».
Q : Quel est le jugement de celui qui dit à son épouse : « tu m’es interdite » ?
R : Si le mari a voulu, par le fait de s’interdire sa femme, le divorce, alors ceci est compté comme un divorce en un seul énoncé. Et il peut la reprendre s’il a eu auparavant des relations sexuelles avec elle, tant qu’elle est dans la période de viduité et tant que ce n’est pas le troisième énoncé.
Sinon, sa femme lui est interdite jusqu’à ce qu’elle se remarie conformément à la législation.
Mais s’il n’a pas eu de rapport avec elle auparavant, il lui est interdit de la reprendre sauf avec un nouveau contrat, une nouvelle dote et son consentement.
Mais s’il n’a pas voulu, par le fait de s’interdire sa femme, le divorce, cela n’est pas compté comme un divorce et il lui incombe une expiation du « dhihar1 ». L’expiation du dhihar consiste à affranchir un esclave croyant ; s’il ne trouve pas, de jeûner deux mois consécutifs ; s’il ne peut pas de nourrir soixante pauvres.
Et c’est d'Allah que vient le succès, que la prière d’Allah et son salut soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et ses compagnons.
- Fatwa du comité permanent :
- Membre : Abdallah ibn Qou`ûd
- Vice-président : Abderrazak ‘Afifi
- Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ben Baz
- Tome 20, page 94, fatwa n° 6759.




Versets coraniques sur la miséricorde (20–29)
Verset 20
.أَهَـ¤
Versets coraniques sur la miséricorde (51–60)
Verset 51
وَإِم
Hadith 1
An-Nu’man ibn Bashir a rapporté : Le Messager d’Allah (paix et bénédi
La fraternité en Islam.
La fraternité en Islam est un concept global qui repose sur le bon caract&egrav
نداءات الرحمن للم
{loadmoduleid 276}
Plus de trente raisons d'entrer au Paradis, tirées du Coran et de
ادْخُلُوا الْجَنّ